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PHILIPPE CAUBÈRE
L’Epilogue
Comédie fantastique en deux parties
écrite et jouée par Philippe Caubère après avoir été improvisée 20 ans plus tôt devant Jean-Pierre Tailhade et Clémence Massart.
écrite et jouée par Philippe Caubère après avoir été improvisée 20 ans plus tôt devant Jean-Pierre Tailhade et Clémence Massart.
20:00
m4 | m5 | j6 | v7 | s8
Les représentations du mardi 4, mercredi 5, jeudi 6, vendredi 7 et samedi 8 décembre sont complètes.
Je dédie ce spectacle à la mémoire de Christophe de Ponfilly.
Philippe Caubère
1. LA FICELLE
Mardi 4 et Jeudi 6 décembre à 20 heures
Un monologue où Ferdinand, tout seul sur le plateau et devenu incapable de jouer les autres, ne trouve plus d’autre recours que de s’adresser à cette ficelle qui traînait dans le fond de la scène depuis le premier des six spectacles de L’Homme qui danse.
2. LA MORT D’AVIGNON
Mercredi 5, Vendredi 7 et Samedi 8 décembre à 20 heures
Ils sont tous revenus une dernière fois, sous la grande ombre, le mystère, le fantôme qui la nuit hante le Palais des Papes, assister à la débâcle de Lorenzaccio 78.
.........................
Après l’intégralité de L’homme qui danse jouée à guichets fermés en 2006, Philippe Caubère revient au Sorano avec son nouveau spectacle, créé en septembre au Théâtre du Rond-Point à Paris. Voici donc l’ultime épisode (en deux volets) longtemps différé, de la plus extravagante aventure de l’histoire du théâtre.
Il y avait une ficelle dans un coin. A partir de là, j’ai tenté de raconter le monde.
Philippe Caubère
Le fil ? celui d’Ariane (Mnouchkine) bien sûr… Partant de là, comme par magie, cela se mit à défiler devant ses yeux et les nôtres. Une foule considérable… Aujourd’hui, Ferdinand se retrouve seul face à lui-même, un peu pris de panique car il ne peut plus se glisser dans la peau d’un autre. Il ramasse une ficelle qui traîne là, évoque l’amour d’abord, et le suicide. Puis se ravise : pourquoi se pendre ? Puisqu’on peut se peindre, prendre le temps à rebours, fabuler son histoire et l’escalader une fois encore jusqu’au burlesque. La fin qui ferme la boucle le ramène au début, aux toutes premières improvisations qu’il fit devant Clémence Massart (à découvrir « en vrai » au mois de janvier) et Jean-Pierre Tailhade. Philippe, nous adorons nous jouer du temps et en rire avec toi ! Déjà préoccupés de savoir quand reviendra la prochaine fois…
Je dédie ce spectacle à la mémoire de Christophe de Ponfilly.
Philippe Caubère
1. LA FICELLE
Mardi 4 et Jeudi 6 décembre à 20 heures
Un monologue où Ferdinand, tout seul sur le plateau et devenu incapable de jouer les autres, ne trouve plus d’autre recours que de s’adresser à cette ficelle qui traînait dans le fond de la scène depuis le premier des six spectacles de L’Homme qui danse.
2. LA MORT D’AVIGNON
Mercredi 5, Vendredi 7 et Samedi 8 décembre à 20 heures
Ils sont tous revenus une dernière fois, sous la grande ombre, le mystère, le fantôme qui la nuit hante le Palais des Papes, assister à la débâcle de Lorenzaccio 78.
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Après l’intégralité de L’homme qui danse jouée à guichets fermés en 2006, Philippe Caubère revient au Sorano avec son nouveau spectacle, créé en septembre au Théâtre du Rond-Point à Paris. Voici donc l’ultime épisode (en deux volets) longtemps différé, de la plus extravagante aventure de l’histoire du théâtre.
Il y avait une ficelle dans un coin. A partir de là, j’ai tenté de raconter le monde.
Philippe Caubère
Le fil ? celui d’Ariane (Mnouchkine) bien sûr… Partant de là, comme par magie, cela se mit à défiler devant ses yeux et les nôtres. Une foule considérable… Aujourd’hui, Ferdinand se retrouve seul face à lui-même, un peu pris de panique car il ne peut plus se glisser dans la peau d’un autre. Il ramasse une ficelle qui traîne là, évoque l’amour d’abord, et le suicide. Puis se ravise : pourquoi se pendre ? Puisqu’on peut se peindre, prendre le temps à rebours, fabuler son histoire et l’escalader une fois encore jusqu’au burlesque. La fin qui ferme la boucle le ramène au début, aux toutes premières improvisations qu’il fit devant Clémence Massart (à découvrir « en vrai » au mois de janvier) et Jean-Pierre Tailhade. Philippe, nous adorons nous jouer du temps et en rire avec toi ! Déjà préoccupés de savoir quand reviendra la prochaine fois…
Assistante à l’écriture et à la mémorisation : Véronique Coquet. Scénographie, lumières et direction technique : Philippe Olivier, dit « Luigi ». Régie son : Jean-Christophe Scottis. Chef électricien : Richard Vera. Musique : Pierre Charvet. Styliste Christine Lombard. Photos Michèle Laurent. Coproduction : Le Théâtre du Chêne Noir à Avignon. Production : Véronique Coquet pour La Comédie Nouvelle. www.philippecaubere.fr - - . Création le 14 septembre au Théâtre du Rond-Point à Paris.
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