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LOS QUE RIEN LOS ULTIMOS
Revue de presse :
La Zaranda est un théâtre d?idées, de sensations, d?impacts émotionnels qui deviennent action. Avec Lors que Rien los Ultimos, elle retourne à l?essentiel. Un temps clos, un espace rond, un trio de clowns. Un langage répété, simplifié, enrichi. Et les outils de base indisensables : machinerie et décor rudimentaires, lumières, costumes, prosodie, gestes, musique. Et leur vérité scénique. Emouvante Zaranda. Un théâtre d?acteurs. Los Hermanos Zarandini, mondialement connus. Rien de plus.
Carlos Gils Zamora. Novembre. Artez. 2006
Dans son style si particulier, La Zaranda montre une fois encore qu?en décrivant un univers minuscule avec la poétique des mots justes, ils brossent en même temps le tableau d?un monde sans pitié.
Susana Freire La Nacion. Argentina. Mai 2006
La légendaire compagnie andalouse La Zaranda, dans sa langue si personnelle, découvre des filons d?humour inconnus au beau milieu d?un monde perdu.
Hilda Cabrera. Argentina. Mai 2006
Un spectacle émouvant qui nous transforme tous en dissidents de l?époque qu?il nous est donné de vivre.
Rosana Torres. El Pais. Madrid. Nov. 2006
Des impacts émotionnels convertis en actes, c?est-à-dire en pensée. Pure Zaranda, émouvante, captivante.
Carlos Gil Zamora, Revista de los Artes Escénicas, novembre 2006
Magnifique argumentaire de ce voyage, épurant au maximum l?empreinte du réalisme magique.
Andrés Molinari. Ideal. Granada. Novembre 2006
Los que rien los ultimos déploien chorégraphies, gestes et actions d?une étonnante poésie. Les interprètes et les artifices de La Zaranda sont magnifiques.
Monica Francés. Granada Hoy. Novembre 2006
Leur capacité à atteindre le public est totale, autant que leur aptitude à construire un discours en images dans lequel volent des mots pleins de sens.
Bonifacio Valdivia. La Opinion de Granada. Novembre 2006
Un magnifique exercice de sincérité théâtrale. La simplicité des personnages laisse entrevoir la vitalité des acteurs. La petite histoire qu?ils incarnent est la fabulation de leur propre biographie. La Zaranda n?a pas peur d?ouvrir de nouveaux chemins car elle sait retourner sur ses pas.
José Antonio Sedeño. Sur. Malaga. Novembre 2006
Indépendamment de la science ou de la philosophie, le théâtre peut être une source efficace de connaissance pour éclairer le c?ur humain. C?est ce que démontre une compagnie originaire de Jerez, La Zaranda. Elle le prouve depuis vingt-cinq ans déjà, mais plus encore avec leur dernière création. Une véritable ?uvre d?art. Plus encore peut-être.
Pablo Bujalance. Malaga Hoy. Novembre 2006
La Zaranda conduit le public jusqu?au réalisme magique du théâtre.
KÖLNER STADT-ANZEIGER. Bonn, Allemagne. 15 juin 1996
La vision de la condition humaine face à la mort montrée par la compagnie de théâtre espagnole la Zaranda, conduit le spectateur à la limite de sa résistance émotionnelle : tout tourne autour de la douleur, le reste n'est qu'accessoire, inexistant.
Dora Luz Haw. Reforma. México DF. 2003
La Zaranda purifie depuis vingt ans un langage qui lui est propre, et qui acquiert un caractère universel.
EXIT - Julio Gomez. Miami, Etats-Unis. 14 juin 1995
Le travail de la Zaranda donne de l?éclat au festival latino.
NEW YORK TIMES.- Richard F Shepard. 19 septembre 1988
Un univers fragile, constamment en danger de mort, mais qui depuis 25 ans prouve sa capacité de résistance.
Bruno Bert. Tiempo Libre. México DF. 2003
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